mercredi 21 janvier 2009

Légère comme une plume.



L'hiver fût long. Froid, dur, et plus triste que tout ceux que j'ai vécu jusqu'alors. Je n'étais d'ailleurs pas vraiment vivante. Simplement nerveuse, désemparée et épuisée. Mais l'hiver touche à sa fin. Enfin. 

Le printemps se fait attendre. Je tends l'oreille chaque matin. Pas encore d'oiseau à l'horizon. Et pourtant je me sens plus légère et insouciante que jamais. Le passé est au passé. J'ai compris aujourd'hui.

Soit. Mon absence se justifie donc par la simple et bonne raison que j'étais amoureuse. Et malheureuse. Et qu'à présent, je suis amoureuse. Et légère, légère, légère. Et amoureuse. Et vivante. Et amoureuse, aussi. Comme quoi, tout les prétextes sont bons afin d'éviter de se coller une heure devant l'écran pour poster sur son blog. Là est tout le paradoxe d'une blogueuse sevrée comme moi ; hier, en colère, effrayée, trop effarouchée pour écrire à des inconnus. Et aujourd'hui, heureuse, amoureuse, et assoiffée de réalité, tout contre lui. 

Voilà donc le pourquoi du comment de mon absence. 
Je reviendrai de temps en temps, certainement pour quelques clichés, quelques mots, quelques bribes de ma vie avec et pour Monsieur D., toujours toujours toujours, et en toute légèreté s'il vous plaît.

Ps : thx Laeticia pour le bon plan Pola piqué chez toi. :)

1 commentaire:

Anonyme a dit…

De rien jolie brune !