mardi 9 février 2010

the new place to be.


Welcome at Nana's new place.
Viendez la bande.


mercredi 28 janvier 2009

Cornichons.


Private joke. :]

  

mardi 27 janvier 2009

Daylight.



Sourire esquissé, regard destiné à l'unique. 
Le voir enfin, demain, me blottir dans ses bras, son souffle tiède dans mon cou.
Et nos Je t'aime à l'infini, comme s'il fallait le dire encore et toujours, sachant pourtant qu'un seul regard suffit. J'aime lui dire que je l'aime. Lui dire que je suis fière de lui, et que j'ai besoin de sa présence, sans laquelle je ne suis plus tout à fait moi.

J'aime l'aimer au delà de la raison, démesurément. 
Et toutes les mises en garde du monde n'y changeraient rien, car il est ma folie, mon goût d'ailleurs et mon avenir.  

J'ai toujours rêvé d'être un gangster.

 

Il y a des films comme ça, que j'ai vu pour la première fois avec lui. Au fond d'un fauteuil rouge, mon regard jonglant entre le sien et l'écran, un peu fascinée par sa fascination je crois. Je sais bien que ça l'énerve que je le fixe comme ça alors que le film est carrément trop bien... Soit.

Ceci n'enlève rien à ce film, à voir. Et revoir, et revoir encore. 
Et à faire découvrir surtout. J'en dis pas plus. 
Parce qu'Anna Mouglalis, Edouard Baer, Rochefort, Bashung, Arno... 
Non, ça s'explique pas.  

lundi 26 janvier 2009

Quand tu pars le dimanche...





Plantée devant mon écran d'ordinateur, je passe en revue les instants que j'ai pu partagé avec cet homme qui vient de rentrer chez lui. 

Deux années, deux courtes années qui ont filé sans que nous ne puissions en mesurer le réel impact. Et c'est en considérant les larmes qui ont détrempé le col de ma chemise à l'instant où son odeur n'embaumait plus ma chambre, que je réalise enfin. 

La parenthèse ouverte sur mes lèvres et ses rides aux coins des yeux semblent être les marques de tout ce qui nous enchaînent l'un à l'autre. Le terme peut certainement paraître un peu fort, mais j'entends par "enchaînement" ce tendre et rassurant lien qui nous plonge dans la plus douce des utopies ; à des milliers de kilomètres des préjugés descendant la crédibilité de la jeunesse, j'ai le sentiment que l'on s'échappe tout les deux de ces idées de vie où l'amour n'a plus de goût, plus de parfum, ni plus de saveur. Jeunes, sensibles et peut-être un peu aveugles, cette auto-persuasion porte pourtant ses fruits. Il y eut certes des larmes, des cris, de la douleur à en mourir. Mais l'orgueil et la colère qui nous ont parfois fait hurler des mots dépassant notre pensée, cette souffrance si vive lorsqu'elle est éprouvée par un coeur amoureux, et cet espoir souvent perdu, n'ont jamais dépassé le fait que ma respiration s'accorde au rythme de la sienne, et que son corps ne bat que pour le mien. Et au delà de ces doutes et de cette angoisse de l'amour maladif, les sourires plus encore sont les signes de ce que l'on partage. Les regards échangés, les éclats de rires, et ses mains qui se resserrent autour de ma taille lors de tout ces instants, nous laisse à penser qu'il est justement peut-être temps d'y croire à cet amour incommensurable, même s'il faut se battre, et faire des compromis. Mais il suffit d'un peu de légèreté parfois, pour que la vie ne soit que tendresse et douceur, qu'un bel accord de toi et moi. 

Ainsi, je dois mon incroyable désir de vivre, mes joues rosées par le bonheur et mon espoir invincible, à un seul et unique homme, qui me fait croire en l'amour, comme le dit Brel, "de l'aube clair jusqu'à à la fin du jour".